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Béatrice Godart-Wendling

Member since: Wednesday, 09 May 2018
Last Visit: Sunday, 11 September 2022
Informations
Details
Prénom
Béatrice
Nom
Godart-Wendling
Organisme d'appartenance
CNRS
Corps
Chargé de recherche
Statut Membre
Membre principal
Habilité à diriger des recherches à l'ED 139 ou à l'ED 180
oui
Adresse professionnelle
Bâtiment A, bureau 413
Tél. professionnel
01 40 97 48 75
ORCID ID
http://0000-0002-9289-9505
Information institutionnelle
Opération Labo
Axe transversal 3 : Epistémologie des sciences du langage
Statut au laboratoire
Chercheurs CNRS & INSERM
Parcours universitaire
Titre de la thèse
Les paradoxes sui-falsificateurs et la sémantique des langues naturelles
Directeur de thèse
Robert Martin (Université Paris IV)
Cotutelle
Non
Présentation
Français
 
 

 

 
Thèmes de recherche
L'enseignement de la compréhension de l'implicite à l'école primaire ; L'analyse des concepts fondamentaux des sciences du langage ; Les concepts fondateurs de la philosophie du langage face à la diversité des langues ; L'histoire de la philosophie du lan
Activités
Enseignements

 

2020-2022 : Chargée de cours à l'UFR de Linguistique de l'Université Paris Lumières (cours de Pragmatique)

2019-2022 : Chargée de cours à l'UFR de Linguistique de l'Université Sorbonne Nouvelle (cours de Syntaxe et sur l'Enonciation)

1999-2002 : Chargée de cours à l’Institut de Logique de l’Université de Neuchâtel (Suisse) (cours de Logique et de Linguistique Formelle)

1998 : Chargée de cours à l'UFR de Linguistique de Paris 13 (Linguistique générale)

1994-1998 : séminaire de M2 « Histoire et Epistémologie » en collaboration avec Irène Rosier à Paris Diderot

1989-1994 : Chargée de cours à l’UFR de Linguistique de Paris 10 (Linguistique générale)

1987-1993 : Chargée de cours à l’UFR de Linguistique de Paris 3 (Linguistique générale)
Direction de thèses, HDR

 

1) Sarah Soria, "Ceci n'est pas une thèse : Etude historique, linguistique et épistémologique du mensonge" (Université Paris Diderot, ED 132).

2) Rana Al-Abdali, "L'implicite en arabe et en français" (Université Paris Nanterre, ED 139).

3) Haïfa Bouattour, " La notion d'espace en architecture : entre tension, ambiguïté et dialectique intérieur/extérieur", thèse en cotutelle avec M. Hichem Messaoudi (Université de Carthage). (Université Paris Nanterre, ED 139).

4) Beshir Hares, "La dynamique du curriculum invisible dans l'enseignement/apprentissage du FLE". (Université Paris Sorbonne)

5) Paul-Henri Got : "La pragmatique dans le changement linguistique, vers une linguistique des forces". (Université Paris Nanterre, ED 139).

Membre de comité de suivi de la thèse :

- 2019-2022 : Sophie Bénard, Apprentissage du langage et inégalités : aspects philosophiques, thèse dirigée par Mme Layla Raïd (Université de Picardie Jules Verne)

- 2021-2022 : Elina Eliasson, Untersuchung von imperfektiven Verbformen in perfektiven Handlungsabläufen am Beispiel des Französischen, thèse dirigée par Mme Gerda Hassler (Université de Potsdam, Allemagne) et Sabine Lehmann (Université de Paris Nanterre).

Jury de thèse

27-03-09 : Membre du jury de thèse de Mr Daniel Bourquin, Structure et inférence : la question de l’anaphore, thèse dirigée par Mr Denis Miéville (Université de Neuchâtel, Suisse).

Projets de recherches

2021-2025 : Membre du projet ANR DINLANG ("Pratiques langagières multimodales dans les diners familiaux français") porté par Aliyah Morgenstern (PR, Université Sorbonne Nouvelle), Marion Blondel (CR, SFL), Christophe Parisse (CR, Modyco), Mehmet Akinci (PR, Université de Rouen) ; 435k.

Les dîners familiaux jouent un rôle majeur dans la construction identitaire des enfants et font partie intégrante de leur patrimoine culturel. Ce sont des moments de la vie quotidienne d’une grande richesse où il est question de goûts, de saveurs, d’odeurs à propos desquels on échange avec des mots, des regards, des gestes, des mimiques, le toucher, en étant imprégné de multiples émotions, joie, plaisir, colère, tristesse…
Ces moments sont d’autant plus essentiels pour l’enfant que c’est dans ce cadre que sont transmises des pratiques sociales liées à la nourriture d’une part, et aux interactions entre plusieurs personnes d’autre part. En France, le dîner commensal a prototypiquement la particularité d’être très structuré tant sur les plans temporel, spatial que social. Il réunit parents et enfants autour d’une même table et est segmenté en plusieurs temps – le plus souvent, entrée, plat, fromage, fruit ou dessert – auxquels tout le monde participe de façon synchrone : dès lors que la règle implicite ou explicite transmise est respectée, on s’attend en effet mutuellement pour passer à l’étape suivante.
Ainsi, grâce aux discussions autour du plaisir de manger, du goût des aliments, de leur qualité ou de la préparation des repas, les dîners contribuent-ils à développer les goûts, les savoirs et les savoir-faire alimentaires des enfants, qui apprennent par ailleurs à coordonner harmonieusement leurs échanges avec les autres personnes présentes autour de la table, en l’occurrence parents et fratrie.

Pour les chercheurs, ces dîners constituent donc un moment idéal pour observer et analyser la manière dont les représentations, les pratiques, les informations liées à l’alimentation de l’enfant passent d’une génération à une autre, et comment les enfants, du fait de la récurrence de ces « rituels » hautement symboliques, intègrent cet héritage culturel. L’identité de la famille et de chacun de ses membres se construit en effet à travers ces gestes et pratiques, qui, malgré leur schéma répétitif sont aussi en constante évolution.
En analysant plus finement les séquences d’interactions et d’actions filmées pendant ces dîners familiaux, nos équipes mettront en lumière la diversité des processus de transmission-appropriation des pratiques sociales rencontrés, en particulier des règles du repas, des manières de manger, de parler, de se comporter…

Cette recherche permettra de développer des outils conceptuels pour comprendre comment les enfants apprennent petit à petit à utiliser leurs corps (bouche, yeux, visage, mains, bras…) afin d’exprimer ce qui est perceptible dans l’ici et maintenant (proximal) et aussi ce qui est absent ou hautement subjectif (distal), des souvenirs, des projets, des rêves, des points de vues, des créations sorties tout droit de l’imagination…

 

2020-2021 : Porteuse avec Claire Beyssade (Paris 8) du projet UPL "Génération Implicite" (4,5k)

Partant du constat que les différents types d’implicite qui structurent le langage humain constituent une des difficultés majeures qui entrave le processus de compréhension des élèves dès l’école primaire, ce programme de recherche pluridisciplinaire (qui alliera linguistique, didactique, psycholinguistique et informatique) a pour double objectif de : 1) proposer aux professeurs des écoles des stratégies d’enseignement de deux formes d’implicite (présupposition et implicature) déjà accessibles cognitivement aux enfants scolarisés en grande section de maternelle ; et 2) contribuer à la formation professionnelle en compréhension des enseignants en élaborant des contenus de stages leur permettant de maximiser en classe l’efficacité des stratégies d’enseignement proposées. Ce projet entend donc participer à la société de demain en proposant des innovations pédagogiques permettant de lutter contre l’échec scolaire, le décrochage et les inégalités sociales. De bonnes compétences langagières sont une condition du développement des enfants, si bien qu’un enseignement efficace de la compréhension est primordial pour une éducation de qualité menant vers une émancipation réfléchie et harmonieuse des individus.

 

2016-2018 : Membre du projet "APPrentissage du Langage chez l'Enfant : enjeux sociaux, politiques et moraux" (APPLE) ; Layla Raïd responsable scientifique, CURAPP-ESS, UMR 7319, Université de Picardie Jules Verne, Porjet MESHS (20k)

Le projet APPLE est une collaboration interdisciplinaire entre philosophie, sociologie, sciences de l'éducation, psychologie sociale et linguistique, consacrée à l'apprentissage du langage dans l'enfance, dans ses enjeux sociaux, politiques et moraux. Porté par Layla Raïd, professeure de philosophie, il réunit les deux laboratoires, CURAPP-ESS (U. de Picardie Jules Verne) et RECIFES (U. d'Artois), ainsi que des collaborateurs extérieurs français ou européens.

L'originalité de cette réflexion commune entre philosophie et SHS est d'être organisée autour des matériaux langagiers collectés au cours des 3 enquêtes de terrain formant le volet empirique du projet : enquêtes ethnographiques sur les apprentissages langagiers de 2 à 4 ans (en famille et en milieu scolaire), sur la socialisation des normes de justice à l'école primaire, sur les ateliers philosophiques en école maternelle.

La réflexion épistémologique, au coeur de l'articulation des volets théoriques et empiriques, vise à réaliser les deux objectifs suivants :

(1) une analyse historique et philosophique des théories de l'apprentissage du langage mobilisées dans l'étude empirique des pratiques langagières chez les jeunes enfants.

(2) proposer de nouveaux concepts opératoires pour penser l'interaction langagière, dans ses dimensions sociales, morales et politiques, en particulier sous l'angle des inégalités - d'âge, de genre et de classe.

Responsabilités

— 2020-2021 : Co-responsable avec Claire Beyssade (Paris 8) du projet "Génération Implicite" financé par UPL.

— Depuis 2019 : Direction du séminaire Epistémologie des sciences du langage : https://www.modyco.fr/fr/evenements/s%C3%A9minaire-epist%C3%A9mologie-des-sciences-du-langage.html

— Depuis 2019 : Expert pour les projets H2020 de la Commission Européenne.

— Depuis 2019 : Direction de l'axe transversal "Epistémologie du langage" (Laboratoire MoDyCo, UMR 7114/Université Paris Nanterre).

— 2017-2019 : Participation au programme de recherches MESHS : « APPrentissage du Langage chez l’Enfant : enjeux sociaux, politiques et moraux » (APPLE, Layla Raïd resp.) en collaboration avec les membres du CURAPP-ESS (U. de Picardie Jules Verne) et du RECIFES (U. d’Artois).

— Membre du comité scientifique de The Fourteenth International Conference on the History of the Language Sciences, Université Paris Diderot, 28 août-1er septembre 2017.

— Membre du comité de lecture des revues Philosophy Study et Linx.

— Depuis 2016 : Participation à History of Linguistics at the Oxford Research Encyclopedia of Linguistics (OREL: http://linguistics.oxfordre.com/). Editor-in-Chief Mark Aronoff. Entrée : “History of philosophy of language”.

— Depuis 2016 : Membre du comité de rédaction du dictionnaire encyclopédique de l'identité. Labex Who I am. Déterminants de l’Identité : de la molécule à l’individu. Chargée des entrées concernant les sciences du langage.

— 2014-2016 : Direction du séminaire (en vidéoconférences) portant sur les concepts fondateurs de la philosophie du langage (50 participants)

— 2014-2015 : Direction du séminaire de recherches “Histoire du concept de présupposition”, Université Paris Diderot (10 participants).

— Depuis 2014 : Co-direction du programme “Modélisation en syntaxe et en sémantique” avec Vincent Nyckees (5 participants)

— Depuis 2014 : Direction du programme « Genèse des concepts de la philosophie du langage et interactions » (50 participants). CNRS UMR 7597.

— Depuis 2014 : Direction du programme « Représentativité en langage et en diachronie des concepts de la philosophie du langage » (17 participants). CNRS UMR 7597.

— 2009-2012 : Co-direction du programme « Histoire des sémantiques » avec Vincent Nyckees et Dan Savatovsky. CNRS UMR 7597.

— Depuis 2009 : Participation au programme « La notion de règle grammaticale », dirigé par J.-M. Fournier (Université de la Sorbonne Nouvelle - UMR 7597).

— 2004-2012 : Direction du programme « Les grammaires formelles du XXe et du XXIe siècles ». CNRS UMR 7597.

— 1999-2002 : Co-direction du programme international franco-suisse « Analyse historique, logique et épistémologique des théories de Lesniewski à l'origine des grammaires catégorielles » avec Denis Mieville (CNRS - FNS).

— 1993-2003 : Co-direction de l’axe « Histoire et Épistémologie des Sciences du Langage au XXe siècle » avec Sylvain Auroux, CNRS UMR 7597.

— 1989-1990 : Participation à l'Encyclopédie Philosophique Universelle, dirigée par Sylvain Auroux, Presses Universitaires de France.

— 1989-1992 : Direction du programme « Etude des énoncés instables en sémantique vériconditionnelle », CNRS CAMS.

— 1989-1992 : Direction du programme « Langues naturelles, Logiques et Théories de la vérité », CNRS CAMS.

 

Affiliations scientifiques, mandats

— Depuis 2018 : Membre nommé au conseil de laboratoire de l'UMR 7114.

— 2017-2021 : Membre du comité STRIDE du CNRS.

— 2016-2021 : Membre élu de la Commission interdisciplinaire “Gestion de la recherche” du Comité national (CID 50 CoNRS). Mandat 2016-2021.

— 2016-2021 : Membre élu du Comité national (CoNRS). Section 34. Mandat 2016-2021.

— 2015-2016 : Membre nommé du Comité National des Universités (CNU). Section 7 : Sciences du langage.

— Depuis 2015 : Directrice de la série “les concepts fondateurs de la philosophie du langage” chez ISTE éditions, Londres. http://iste-editions.fr/collections/serie-les-concepts-fondateurs-de-la-philosophie-du-langage

— 2014-2018 : Membre élu du conseil d'administration de l'UFR de linguistique de Paris Diderot.

— 2014-2018 : Membre élu suppléant du Comité scientifique du LabEx EFL.

— Depuis 2012 : Membre du Comité National Français d'Histoire et de Philosophie des Sciences.

— 2011-2018 : Membre élu au conseil de laboratoire de l'UMR 7597.

— 1999-2006 : Membre de l'Institut de logique et du Centre de Recherches Sémiologiques de l'Université de Neuchâtel (Suisse).

— 1993-2002 : Membre élu au conseil de laboratoire de l'UMR 7597.

— Depuis 1989 : Membre de l'Association ConSciLa “Confrontations en sciences du langage”.

— Depuis 1989 : Membre de l'Association pour la Recherche Cognitive.

— 1989-1993: Chargée de recherches au Centre d’Analyse et de Mathématique Sociales (CAMS, EHESS).

 

 
Production scientifique
Publications

Liste des publications et communications

1. Ouvrages

(1) La Vérité et le Menteur, Les paradoxes sui-falsificateurs et la sémantique des langues naturelles. 1990, Paris, éditions du CNRS, collection Sciences du langage. ISBN 2-222-04367-0.

(2) Lire le paradoxe du Menteur. 1991, Lyon, Voies Livres, n° 47.

2. Direction d'ouvrages / de revues

(1) L'intention dans le discours et l'action. en collaboration avec Valérie Aucouturier. A paraître en 2023 chez ISTE editions, Londres, collection « Sciences cognitives ».

(2) Les usages de l'usage. en collaboration avec Sandra Laugier, 2022, Londres,  ISTE editions, Londres, collection « Sciences cognitives ». ISBN 9-781784-058197.
 
(3) A la recherche de la présupposition. en collaboration avec Layla Raïd, 2016, Londres, ISTE editions, collection « Sciences cognitives ». ISBN 9-781784-052096.
 
(4) Direction du n° 148 de Langages, 2002, Les grammaires catégorielles. ISBN 2-03-577 0491.
 

3. Articles dans des revues à comité de lecture

(1) « Mortelle Ironie : quels fragments de compréhension en classe, du CE1 au CM1 ? », écrit en collaboration avec Florence Charles, Le Français Aujourd'hui, à paraître en septembre 2022 dans le numéro 218 « Prendre en compte l’implicite des textes littéraires pour mieux lire », Anissa BELHADJIN & Marie-France BISHOP (coord.).

(2) « Quelles conceptions de l'ironie dans les manuels scolaires en collège et lycée ? », écrit en collaboration avec Florence Charles, (In)actualité de l'ironie dans la prose d'expression française (2010 - 2020), revue électronique Carnets, 2022, n° 23, https://journals.openedition.org/carnets/13363.

(3) « Quand l’enfant n’a pas voix au chapitre. Etude sur le statut linguistique des enfants », écrit en collaboration avec Layla Raïd, La revue interdisciplinaire de sciences sociales A Contrario, Sacha Auderset & Yves Erard (dir.), 2019/1, n° 28, Trouver sa voix dans les mots des autres, pp. 169-191, BSN Press.

(4) « Prescriptions et Représentation de la langue », Etudes de linguistique appliquée, La Prescription linguistique : applications et réactions, Danielle Candel et Douglas Kibbee (sld.), 2018, n° 191, pp. 359-364.

(5) « Règle(s) et métarègles dans l’approche catégorielle de Lambek », Verbum, 2018, vol. 41, n° 2, Grammaires catégorielles simples et étendues, J.-P. Desclés (coord.), pp. 221-236.
 
(6) « La philosophie du langage : une jungle de Calais pour la linguistique ? », Cahiers de l'I.L.S.L, n° 53, UNIL, Université de Lausanne, 2018, p. 105-146.
 
(7) « Dis, comment faire pour lire ça ? Ecriture et graphisme dans les formalismes contemporains », écrit en collaboration avec Antonio Mosca, 2015, Supplément électronique de la revue Histoire Epistémologie Langage, n° 9, pp. 198-215. https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01304964
 
(8) « A la recherche d'une notion non stabilisée : La présupposition à l'aune des exponibilia et des approches contemporaines », écrit en collaboration avec Frédéric Goubier, Cahiers de Lexicologie, 2015, vol. 107, n° 2, pp. 203-222.
 
(9) « Stop thinking that I am only speaking about the world, go further : infer ! A short history of formal semantics of the twentieth century », écrit en collaboration avec Alessandro Facchini, Beiträge zur Geschichte der Sprachwissenschaft, 2014, vol. 24, n° 2, pp. 267-282.
 
(10) « L'hypothèse de Firth : Wittgenstein, héritier de Malinowski ? », Historiographia Linguistica, 2014, vol. 14, n° 1, pp. 79-107.
 
(11) « The categorial approach to language linearity », Beiträge zur Geschichte der Sprachwissenschaft, 2012, vol. 22, n° 1, pp. 197-210.
 
(12) « The radical lexicalism and the place of syntax in categorial grammars », Linguas e Instrumentos Linguisticos, 2003, n° 13/14, Campinas: Pontes Editores.
 
(13) « Les grammaires catégorielles lambekiennes: le traitement des constituants discontinus », Linx, 2003, Approches contemporaines en syntaxe, vol. 48, 123-137.
 
(14) « Réminiscences catégorielles », écrit en collaboration avec J. Lambek, Langages, 2002, n° 148, pp. 67-75. hal-01314084v1.
 
(15) « Les trois premières syntaxes catégorielles », Langages, 2002, n° 148, pp. 51-66.
 
(16) « De la théorie des catégories sémantiques de Lesniewski à l’analyse de la quantification dans la syntaxe d’Ajdukiewicz », écrit en collaboration avec P Joray, Langages, 2002, n° 148, pp. 28-50.
 
(17) « Présentation » du n° 148 de Langages, 2002, pp. 3-12.
 
(18) « Comment ça réfère ? », Revue de Sémantique et Pragmatique, 2000, n° 7, pp. 105-121. hal-01314026v1.
 
(19) « Nom et classe chez Carnap », in Essais sur le nom et la nominalisation, D. Miéville (ed.), Travaux du Centre de Recherches Sémiologiques, 2000, n° 67, Neuchâtel : CdRS, pp. 55-74.
 
(20) « Ajdukiewicz, Kamimierz », Histoire Epistémologie Langage, 2000, Hors-série, n° 3, Corpus Représentatif des Grammaires et des Traditions Linguistiques, 2000, tome 2, B. Colombat (dir.), article n° 5328, pp. 469-470.
 
(21) « Bar-Hillel, Yehoshua », Histoire Epistémologie Langage, 2000, Hors-série, n° 3, Corpus Représentatif des Grammaires et des Traditions Linguistiques, 2000, tome 2, B. Colombat (dir.), article n° 5332, pp. 477-478.
 
(22) « Montague, Richard », Histoire Epistémologie Langage, 2000, Hors-série, n° 3, Corpus Représentatif des Grammaires et des Traditions Linguistiques, 2000, tome 2, B. Colombat (dir.), article n° 5344, pp. 502-504.
 
(23) « De l’ubiquité de l’ordre dans les premières grammaires catégorielles », Historiographia Linguistica, 1999, XXVI : 3, pp. 383-405.
 
(24) « Montague et les catégories d’Ajdukiewicz », in Rôle et enjeux de la notion de catégorie en logique, D. Miéville (éd), Travaux de logique, 1999, n° 13, Neuchâtel : CdRS, pp. 159-175.
 
(25) « Penser le principe de compositionnalité : éléments de réflexion historique et épistémologique », écrit en collaboration avec F. Ildefonse, J.-C. Pariente et I. Rosier-Catach, T.A.L., 1998, vol. 39, n°1, pp. 9-34.
 
(26) « De l’influence du « principe de dualité » sur le traitement algébrique des phrases », Logique et Analyse, 1996, vol. 39, n° 155-156. hal-01314116.
 
(27) « Le principe de substitution de LEIBNIZ : condition nécessaire et suffisante de l’opacité référentielle ? », Revue de Linguistique DRLAV, 1989, n° 40, pp. 141-156.
 
(28) « Le Paradoxe du Menteur : Essai de résolution dans le cadre d’une approche dynamique », Intellectica, 1988, n° 6, pp. 123-168. hal-01314108v1.
 
(29) « Les Enoncés Sui-falsificateurs : nouvelle classe d’exceptions à la loi de LEIBNIZ », Logique et Analyse, 1987, n° 119, pp. 235-256.

4. Articles dans des actes de colloque à comité de lecture

(1) « Appréhender l’implicite dans le texte littéraire à l’école : le cas des présuppositions et des implicatures », en collaboration avec Anissa Belhadjin, Marie-France Bishop, Virginie Tellier et Laurent Roussarie, à paraître dans les Actes du 8ème Congrès Mondial de Linguistique Française.

(2) "Toward a mastery of implicit meaning for a better reading comprehension", écrit en collaboration avec Marie-France Bishop, à paraître dans les actes du colloque SFERE 2021, Sciendo, De Gruyter.

(3) "Children’s understanding of metaphors: from psycholinguistics to linguistics", écrit en collaboration avec Stéphanie Caillies, Véronique Baltazart et Christelle Declercq (C2S, EA 6291, Reims Champagne Ardenne University), 2022, in I Quaderni del CIRM, TAB edizioni, pp. 31-44.

(4) "Incidences de l'implicite sur la compréhension des enfants", in L'enfant et le langage, Bertrand Geay, Jean-François Goubet et Layla Raïd (sld.), à paraître aux
Presses du Septentrion, collection Paradoxa.

(5) « ‘T’es un vendu’ ou ‘t’es un blédard’ ? Analyse des enjeux identitaires aux Comores », écrit en collaboration avec Thamra Mohamed Hassani, Actes du Congrès Identités, Conflits et Interventions sociolinguistiques, C. Alén Garabato, H. Boyer, K. Djordjevic, Léonard, B. Pivot (eds), 2019, chapitre 3, éditions Lambert-Lucas, pp. 41-48.

(6) « Le clapet de la souricière : les implicites de la violence verbale dans le théâtre de Sarraute », écrit en collaboration avec Layla Raïd, in La violence verbale : description, processus, effets discursifs et psycho-sociaux, Iuliana-Anca Mateiu editeur, Cluj-Napoca, Presa Universitara Clujeana, 2017, pp. 195-210. ISBN: 978-606-37-0202-0.

(7) « Presupposition and Implicitness in the Twentieth Century : From logic to linguistics », écrit en collaboration avec Layla Raïd, History of Linguistics 2014. Assunção, Carlos, Gonçalo Fernandes & Rolf Kemmler (eds). 2016. Amsterdam/Philadelphia : John Benjamins, pp. 257-268.

(8) « Looking for a Semantic Theory: The path taken by Kazimierz Ajdukiewicz (1931-1960) », in History of Linguistics 2011, Vadim Kasevich, Yuri Kleiner and Patrick Sériot (eds.), Amsterdam/Philadelphia : John Benjamins, 2014, pp. 137-144.

(9) « Emotions : Various “Language-Games” which open the Door to Grammar », in Linguistic Approaches to Emotions in Context, Fabienne Baider and Georgeta Cislaru (eds.), 2014, Amsterdam/Philadelphia : John Benjamins, pp. 21-36.

(10) « La présupposition : Histoire d'un jeu de relais où chacun imprime sa démarche », in Métodos y resultados actuales en Historiografia de la Lingüistica, Maria Luisa Calero, Alfonso Zamorano, F. Javier Perea, Ma del Carmen Garcia Manga, Maria Martinez-Atienza (eds.), 2014, vol. 1, pp. 256-265, Münster : Nodus Publikationen.

(11) « When Categories go back to Parts of Speech », écrit en collaboration avec Pierre Joray, History of Linguistics 2008, G. Hassler (ed.), 2011, Amsterdam/Philadelphia : John Benjamins, pp. 399-408.

(12) « Histoire d’une tension : le calcul du sens des verbes et le respect de la compositionnalité en grammaire catégorielle », in Représentations du sens linguistique III, Evrard, I., Pierrard, M., Rosier, L., & Van Raemdonck, D. (eds.), 2009, Bruxelles : De Boeck-Duculot, pp. 333-344.

(13) « La preuve de Gaifman : Réflexions sur la méthode de construction des grammaires catégorielles », History of Linguistics 2005, D. Kibbee (ed), 2007, Amsterdam/Philadelphia : John Benjamins, pp. 432-440.

(14) « Le concept de ‘structure’ dans l’histoire des grammaires catégorielles », dans G. Hassler et Gesina Volkmann (eds.), History of Linguistic in Texts and Concepts, Geschichte der Sprachwissenschaft in Texten und Begriffen, 2004, Münster : Nodus publikationen, vol. 2, pp. 823-834.

(15) « Le traitement de la sémantique dans les grammaires catégorielles contemporaines », in Linguistics Currents and Concepts : Theoretical and Historical Perspectives, P. Swiggers & P. Lauwers (eds.), 2003, vol. 2, pp. 56-71.

(16) « La sémiotique logique dans l’Aufbau de R. Carnap », CDROM « Des théories aux problématiques », J. Fontanille (coord.), 2002, diffusé par les Presses de l’Université de Limoges (PULIM).

(17) « La description des faits linguistiques et leurs traductions logiques dans les grammaires de R. Montague et de P. T. Geach », in Sprachwissenschaft auf dem Weg in das dritte Jahrtausend, Teil 1 ; Text, Bedeutung, Kommunication, Reinhard Rapp (ed.), 2001, pp. 103-111.

(18) « The Conceptualization of Time in Boole’s logical Algebra », A Boole Anthology. Recent and Classical Studies in the Logic of George Boole, J. Gasser (ed.), Synthese Library, vol. 291, Dordrecht : Kluwer Academic Publishers, 2000, pp. 241-255.

(19) « If you come across any particular problem : pike a sentence in French ! », in L’histoire de la linguistique, médiatrice de théories, tome I, Annick Englebert, Michel Pierrard, Laurence Rosier et Dan Van Raemdonck (dir.), Tübingen : Max Niemeyer Verlag, 2000, pp. 83-91.

(20) « La place de la sémantique dans les premières grammaires catégorielles », in The History of Linguistic and Grammatical Praxis, P. Desmet, L. Jooken, P. Schmitter and P. Swiggers (eds.), Louvain : Peeters, coll. Orbis Supplementa, 2000, vol. 14, pp. 395-407.

(21) « Histoire de la notion de catégorie dans les premières grammaires catégorielles », in Actas del I Congreso Internacional de la Sociedad Espagnola de Historiografa Linguistica, M. Fernandez Rodriguez, F. Garcia Gondar & N. Vasquez Veiga (eds.), 1999, Madrid : Arco / Libros, S. L., pp. 335-346.

(22) « Mais que fait Bar-Hillel quand ‘le soleil siffle’ ? », in History of Linguistics 1996, D. Cram, A. Linn and E. Nowak (eds.), vol. 2, From Classical to Contemporary Linguistics, 1999, Amsterdam / Philadelphia : John Benjamins, pp. 321-329.

(23) « Histoire de la prise en compte de l’ordre des mots : le cas des premières grammaires catégorielles (1935-1961) », B. Caron (éd.), Proceedings of the 16th International Congress of Linguists, CDROM Pergamon, 1998, Oxford : Elsevier Sciences.

(24) « Le statut du mot dans les formalismes de Carnap et d’Ajdukiewicz », dans Mot et Grammaire(s), B. Fradin, J.-M. Marandin (sld.), Didier Erudition, 1997, Chap. 6, pp. 181-197.

(25) « Carnap et Ajdukiewicz : deux conceptions mathématisées de syntaxe », dans Le formalisme en question : le tournant des années trente, D. Vernant (dir.), Paris : Vrin, 1997, pp. 313-326.

(26) « Quels sont les défauts de la logique des défauts ? », Actes du cinquième Colloque de l’ARC, 1992, pp. 249-260.

5. Chapitres d'ouvrage

(1) « Les grammaires basées sur l’usage : un modèle pour penser la variation en sémiotique ? », écrit en collaboration avec Paul-Henri Got, à paraître dans Sémiotique et Linguistique, Amir Biglari et Jean-Marie Klinkenberg (dir.).

(2) « Une linguistique sans usage », in Les usages de l’usage, 2022, Londres, Iste éditions, Chapitre 8, pp. 175-197.

(3) « Introduction », en collaboration avec Sandra Laugier, in Les usages de l’usage, 2022, Londres, Iste éditions, pp. 1-15.

(4) "La formalisation : pour quoi faire ?", in De la diachronie à la synchronie et vice versaMélanges offerts à Annie Bertin, Julie Glikman, Hava Bat Zeev Shyldkrot, Sabine Lehmann, Frédérique Sitri et Thomas Verjans (sld), 2021, Grenoble, Presses Universitaires Savoie Mont Blanc, pp.405-421.

(5) "On the difficulty of using philosophical theories to develop a semantics: the case of Ajdukiewicz", in The Lvov-Warsaw School and Contemporary Philosophy of Language, Piotr Stalmaszczyk et Lieszko Talasiewicz (eds.), Leiden-Boston: Brill editions, 2022, chapitre 6, pp. 139-158. DOI:10.1163/9789004471146_008

(6) « Le paradoxe de la présupposition: un implicite ancré dans le sens littéral ? », in A la recherche de la présupposition, B. Godart-Wendling et Layla Raïd (éds.), 2016, Londres, ISTE edition, pp. 157-178.

(7) « Introduction » du livre A la recherche de la présupposition, en collaboration avec Layla Raïd, 2016, Londres, ISTE editions, pp. 11-20.

(8) « Les développements de la grammaire catégorielle et de la grammaire applicative », Geschichte der Sprachwissenschaften. History of the Language Sciences. Histoire des Sciences du Langage, Sylvain Auroux, K. Koerner, H. J. Niederehe & K. Versteegh (eds.), 2006, Berlin, Walter de Gruyter, vol: 3, pp. 2039-2048.

(9) « Analyse du traitement de la quantification en Grammaire Catégorielle : logique non linéaire versus grammaire de prégroupe », dans La Quantification dans la logique moderne, P. Joray (sld.), 2005, Paris : L’Harmattan, collection « Epistémologie et Philosophie des Sciences », pp. 313-342.

(10) « « je mens » : histoires sémantique et logique d’un paradoxe », dans Le paradoxe en linguistique et en littérature, R. Landheer et P.-Smith (eds.), Droz, collection « Histoire des idées et critique littéraire », 1996, vol. 350, pp. 17-38.

 

6. Articles dans des encyclopédies

(1) « La langue, un ciment vers l'identité ? », in L'identité. Dictionnaire encyclopédique, Jean Gayon (sld), Paris, Gallimard, collection “Folio Essais”, 2020, pp. 133-146.
 
(2) « Langue », in L'identité. Dictionnaire encyclopédique, Jean Gayon (sld), Paris, Gallimard, collection “Folio Essais”, 2020, pp. 512-518.
 
(3) « History of Analytic Philosophy of Language », in History of Linguistics at the Oxford Research Encyclopedia of Linguistics (OREL: http://linguistics.oxfordre.com/). Editor-in-Chief Mark Aronoff. 2020, en ligne.
 
(4) « George Boole », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph et P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(5) « Rudolf Carnap », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph et P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(6) « Gottlob Frege », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph et P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(7) « Richard Montague », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph et P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(8) « Bertrand Russell », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph et P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(9) « Yehoshua Bar-Hillel », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph and P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(10) « Stanislaw Lesniewski », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph and P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(11) « Kazimierz Adjukiewicz », Biographical Dictionary of Western Linguistics since 1450, J. Joseph and P. Swiggers (eds.), Routledge (en anglais).
 
(12) « Opacité référentielle », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II, p. 1807.
 
(13) « QUINE (paradoxe de –) », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II, p. 2144.
 
(14) « Paradoxe (– de violation de loi(s) interne(s)) », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II, p. 1852-1853.
 
(15) « Sorite », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II, p. 3190. hal-01314276v1.
 
(16) « RUSSELL (paradoxe de –) », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II, p. 2288.
 
(17) « Paradoxe », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II, p. 1848-1851.
 
(18) « Sui-falsificateur (paradoxe –) », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II.
 
(19) « Barbier (paradoxe du –) », Encyclopédie Philosophique Universelle, 1990, Presses Universitaires de France, tome II.
 

7. Articles critiques et comptes-rendus

(1) Blome-Tillmann, Michael, Knowledge and Presuppositions, CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2016, vol. XXXVIII, n° 1, pp. 170-172.

(2) Bornand, Sandra & Leguy, Cécile (dir.), Compétence et performance. Perspectives interdisciplinaires sur une dichotomie classique, CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2016, vol. XXXVIII, n° 1, pp. 173-176.
 
(3) Harald Weinrich, Linguistique du mensonge, CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2015, vol. XXXVII, n°1, pp. 160-163.
 
(4) Article critique « zoom sur les premiers dictionnaires de pragmatique » paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2013, vol. XXXV, n° 2, pp. 150-153.
 
(5) Richard Moot et Chrisitan Retoré, The logic of categorial grammars: a deductive account of natural language syntax and semantics, CR paru dans la Revue électronique internationale Traitement Automatique des Langues, 2012, 53/2.
 
(6) Antonia Soulez (sld.), Manifeste du Cercle de Vienne et autres écrits. Carnap Rudof, Hans Hahn, Otto Neurath, Moritz Schlick & Friedrich Waissman, CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2012, vol. XXXIV, n° 2, pp. 164-165.
 
(7) Sandra Laugier et Sabine Plaud (éds), Lectures de la philosophie analytique, CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2012, vol. XXXIV, n° 1, pp. 168-171.
 
(8) Robert Brandom, Rendre explicite, CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2011, vol. XXXIII, n° 2, pp. 173-176.
 
(9) Ulrich Weinreich, Explorations en théorie sémantique, CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2010, vol. XXXII, n° 1, pp. 178-181.
 
(10) Article critique : « Actualité de la philosophie analytique en France », Histoire Epistémologie Langage, 2009, vol. XXXI, n° 2, pp. 181-185.
 
(11) F. Rivenc et G. Sandu (eds.), Entre logique et langage, (Vrin, 2009), CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2009, vol. XXXI, n° 2, pp. 185-187.
 
(12) M. Penke et A. Rosenbach (eds.), What Counts as Evidence in Linguistics, (J. Benjamins, 2007), CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2008, vol. XXX, n° 2, pp. 220-222
 
(13) Dominique Berlioz et Frédéric Nef (eds), Leibniz et les puissances du langage, (Vrin, 2005), CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2007, vol. XXIX, n° 1, pp. 181-184.
 
(14) Konrad Koerner, Toward a History of American Linguistics, London and NewYork, Routledge, article critique : « Le structuralisme dans le contexte de la linguistique américaine » paru dans Les dossiers de Histoire Epistémologie Langage [supplément électronique à la revue Histoire Epistémologie Langage], 2007, n° 3.
 
(15) Sydney Lamb, Language and Reality, (Jonathan Webster, London - New York, 2004), CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2005, vol. XXVII, n° 2, pp. 189-192.
 
(16) Christiane Chauviré, Le grand miroir: essais sur Peirce et sur Wittgenstein, (Presses Universitaires Franc-Comtoises, 2003), CR paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2005, vol. XXVII, n° 1, pp. 195-208.
 
(17) Emmanuelle Danblon, Rhétorique et rationalité. Essai sur l’émergence de la critique et de la persuasion », (Bruxelles, 2002), article critique paru dans Histoire Epistémologie Langage, 2004, vol. XXVI, n° 1, pp. 172-178.
 
(18) Article critique « Pour une réhabilitation de la philosophie du langage ordinaire », Histoire, Epistémologie, Langage, 2003, vol. XXV, n° 1, pp. 173-177.
 
(19) Frédéric Nef, Logique, Langage et Réalité, CR paru dans Le Français Moderne, 1993, tome LXI, n° 1, pp. 69-73. hal-01313965v1.
 
(20) François Rastier, Sémantique et recherches cognitives, CR paru dans Intellectica, 1992, 1/2, n° 13-14, pp. 337-342. hal-01313959v1.
 
(21) Claudine Normand (sld.), La Quadrature du sens, CR paru dans la Revue de Linguistique Romane, 1991, n° 219-220, pp. 497-502. hal-01313955v1.
 
(22) Jacques Jayez, L'inférence en langue naturelle, article critique « Inférez partialement mais avec pertinence », paru dans Linguisticae Investigationes, 1990, XIV : 1, pp. 196-206. hal-01313950v1.

8. Articles de vulgarisation

  • (1) « Paul Grice – A la recherche du sens caché », Les Grands Dossiers des Sciences Humaines, 2017, n° 46, pp. 62-63 ; réédition en livre de poche (coll. PBSH) en 2019.

9. Liste des communications dans des colloques et séminaires

4-8 juillet 2022 : « Appréhender l’implicite dans le texte littéraire à l’école : le cas des présuppositions et des implicatures », en collaboration avec Anissa Belhadjin, Marie-France Bishop, Virginie Tellier et Laurent Roussarie, 8ème Congrès Mondial de Linguistique Française Université d’Orléans.

29 juin – 1er juillet 2022 : « A l’école de l’ironie », symposium organisé par Anissa Belhadjin et Marie-France Bishop « Lire l'implicite en classe : quelles difficultés, quelles ressources ? » dans le cadre des 23e rencontres des chercheuses et des chercheurs en didactique de la littérature. L’élève et la littérature, Université de Genève - Uni Mail, Suisse.

25-29 avril 2022 : « Use: A concept that calls for research programs », XIII Congreso Internacional de la Sociedad Espanola de Historiografia Linguistica, Université de Valence, Espagne.

22 juin 2021 : « Les sciences du langage face aux inégalités », en collaboration avec Sophie Babault, Lucie Broc et Justine Cassell, Journée d'étude organisée par RTP Education, env visio.

3 juin 2021 : "Quelles conceptions de l’ironie dans les manuels scolaires en collège et lycée ?", en collaboration avec Florence Charles (CREAD, EA 3875 / Université de Brest), Journée d'étude In(actualité) de l'ironie, en vivio, Université de Saint-Etienne.

30-31 mars 2021 : "Vers une maîtrise de l’implicite pour une meilleure compréhension en lecture", en collaboration avec Marie-France Bishop, Colloque SFERE-Provence (FED4238) / AMPIRIC - Apprentissages, stratégies et politiques éducatives. Quelles interdisciplinarités, méthodologies et perspectives internationales ?, en visio, Université d'Aix-Marseille.

14 octobre 2020 :"Masque", Rencontre sur L’identité au croisement des disciplines, Université de Paris et Labex Who I am.

13-15 mai 2019 : « How the processes of meaning construction evolve during childhood », en collaboration avec Christelle Declercq, Stéphanie Caillies et Véronique Baltazart, colloque international Researching Metaphor - Cognitive and Other, Université de Gênes, Italie.

07-09 mars 2019 : « L'acquisition de la présupposition chez l'enfant », colloque international Les formes du discours : de la performativité à l'interprétation, Université de la Manouba, Tunis (conférence invitée).

07-09 novembre 2018 : « Le rôle de l'implicite dans la compréhension des enfants », colloque APPLE (Apprentissage du Langage chez l'enfant), Maison des sciences de l'homme de Lille (conférence invitée).

02-06 juillet 2018 : « Dynamically Diagnosing Concepts: a role for the history of linguistics? », ICL20 International Congress of Linguists, Cape Town, South Africa.

08-10 juin 2018 : « Ecouter sans exister : Le langage discriminatoire violent à l’égard des enfants », en collaboration avec Layla Raïd, 8e Conférence internationale : Pragmatique et communication interculturelles, Nicosie, Université de Chypre.

17 mai 2018 : Participation à la table ronde "L'apprentissage du langage chez l'enfant : enjeux sociaux, politiques et moraux (L'enfant des philosophes / La philosophie pour les enfants)", Université de Picardie Jules Verne, Université d’Artois / MESHS Lille, Laboratoires CURAPP-ESS et RECIFES (invitée).

28 août au 1 septembre 2017 : « When Usage Takes the Lion's Share: Analysis of theoretical changes induced by usage-based approaches to language », The Fourteenth International Conference on the History of the Language Sciences, Université Paris Diderot.
 
02-04 août 2017 : « Languages as “systems used to create” : Influence of Coseriu’s thinking on usage-based approaches », Congreso Internacional “Lingüística Coseriana VI” en la Pontificia Universidad Católica del Perú y en la Universidad del Pacífico, Lima, Pérou.
 
14-16 juin 2017 : « “C'est un vendu” ou “c'est un blédard” ? Analyse des enjeux identitaires sur les îles de la lune », en collaboration avec Thamra Mohamed Hassani, Congrès Identités, Conflits et Interventions sociolinguistiques, Montpellier, Université Paul Valéry.
 
12-14 mai 2017 : « Usage as an Object of Inquiry : an epistemological break for linguistics ? », International Conference on Philosophy of Language and Linguistics, PhiLang 2017, University of Lodz, Poland.
 
10 décembre 2016 : conférence invitée : « Implicite intra-littéral et présupposition », matinée d'études sur les Regards actuels sur l’implicite linguistique, organisée par V. Nyckees, Université Paris Diderot.
 
21-22 octobre 2016 : « L’implicite comme vecteur de la violence verbale dans le théâtre de Sarraute », en collaboration avec Layla Raïd, Colloque international sur « La violence verbale : description, processus, effets discursifs et psycho-sociaux », Université Babes-Bolyai, Cluj-Napoca, Roumanie.
 
5-7 septembre 2016 : « Does linguistics need its own philosophy of language ? », The fifth biennial conference of the Society for the History of Linguistics in the Pacific, Potsdam, Germany.
 
10 octobre 2015 : « La présupposition : quand le sens littéral se fait implicite », Journée d'études sur Présupposition et Implicite, organisée par Béatrice Godart-Wendling et Layla Raïd, Université Paris Diderot.
 
6 décembre 2014 : « La présupposition et l'implicite : grandes lignes historiques pour le XXème siècle », en collaboration avec Layla Raïd, matinée d'études sur La présupposition: quelques jalons historiques, organisée par B. Godart-Wendling, Université Paris Diderot.
 
25-29 août 2014 : « Presupposition and Implicitness in the Linguistic Theories of the Twentieth Century », 13th International Conference on the History of the Language Sciences (ICHoLS XIII), Université de Vila Real, Portugal.
 
11-13 septembre 2013 : « La présupposition : histoire d'un jeu de relais où chacun imprime sa démarche », IX Congreso de la Sociedad Espanola de Historiografia Linguistica (SEHL), Université de Cordoue, Espagne.
 
01-03 juillet 2013 : « Repenser l'interface sémantique/pragmatique : le choix de l'approche inférentielle de la signification », 6ème rencontres de Sémantique et Pragmatique (RSP6), Université d'Orléans.
 
25-26 janvier 2013 : « Quand seul l'oeil peut les lire. Ecriture et graphisme dans les formalismes contemporains », en collaboration avec Antonio Mosca, Colloque SHESL - HTL, Ecriture(s) et représentations du langage et des langues, Pôle des langues et civilisations, Paris.
 
01-03 août 2012 : « History of an Inversion : Reference versus Inference in the Formal Semantic Theories of the Twentieth Centry », en collaboration avec Alessandro Facchini, 1ère Journée Internationale d'Histoire de la Linguistique, Institut de Linguistique de la Faculté de Philosophie et Lettres de l'Université de Buenos Aires, Ciudad Autonoma de Buenos Aires, Argentine.
 
17 mars 2012 : « L'hypothèse de Firth : Wittgenstein, héritier de Malinowski ? », matinée d'études sur Les sources britanniques de la pragmatique, organisée par B. Godart-Wendling, J. Léon et D. Samain, Université Paris Diderot.
 
28 août au 2 septembre 2011 : « From a Platonic to an Inferential Theory of Meaning. Or, why Husserl is not enough », 12th International Conference on the History of the Language Sciences (ICHoLS XII), Université de Saint-Pétersbourg, Russie.
 
23-26 juin 2011 : « Emotion : a “Language-Game” which opens the Door to Grammar », Colloque Cognition, Emotion, Communication, organisé par l'Université Paris III et l'Université de Chypre, Nicosie, Université de Chypre, Chypre.
 
20 mai 2011 : conférence invitée : « Les notions de “règle” et de “métarègle” dans les grammaires formelles contemporaines », Workshop sur La notion de “règle” en grammaire organisé par l'UMR 7597, Université Paris Diderot.
 
11-12 mars 2011 : « The Categorial Approach to Language Linearity », colloque Approches théoriques de la linéarité du langage, organisé par le Laboratoire Recherche sur le Langage (LRL) et le Studienkreis Geschichte der Sprachwissenschaft, Maison des Sciences de l'Homme de Clermont-Ferrand.
 
09-11 septembre 2010 : « Firth and Wittgenstein via Malinowski : a shared influence leading to differences », Henry Sweet Society Colloquium, University of Sheffield, UK
 
25-28 août 2010 : « Contextual and/or Compositional : a History of Reconciliation », XXI. Internationales Kolloquium des « Studienkreis ‘Geschichte der Sprachwissenschaft’, Université de Thessalonique, Grèce.
 
14-17 septembre 2009 : « De la sémantique dynamique à la sémantique pragmatique », Colloquium of the Henry Sweet Society for the History of Linguistic Ideas, Université d’Oxford, U.K.
 
28 août-2 septembre 2008 : « Quand la notion de catégorie se fait partie du discours », en collaboration avec Pierre Joray, Eleventh International Conference on the History of the Language Sciences (ICHoLS XI), Université de Potsdam, Allemagne.
 
15-16 novembre 2007 : conférence invitée : « Prescriptions et Représentation de la langue », Colloque international intitulé Prescriptions en langue, Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, Paris.
 
7-9 septembre 2006 : « Which strategies are developped by Formal Grammar to achieve the expressivity of natural languages ? », Colloquium of the Henry Sweet Society for the History of linguistic Ideas, University of Sheffield, U.K.
 
28-30 juin 2006 : « Challenges and Perspectives of Formal Grammars in the 21st Century », XVIII. International Colloquium of the Studienkreis Geschichte der Sprachwissenschaft, Leiden University, Pays-Bas.
 
3-5 novembre 2005 : « Histoire d’une tension : le calcul du sens des verbes et le respect de la compositionnalité en grammaires catégorielles », Colloque Représentation du sens linguistique III, Bruxelles, Belgique.
 
1-5 septembre 2005 : « La preuve de Gaifman : réflexions sur la méthode de construction des grammaires catégorielles, Teenth International Conference on the History of the Language Sciences (ICHoLS X), University of Illinois at Urbana-Champaign, USA.
 
4-5 février 2005 : conférence invitée à la table ronde du Colloque de la Société d’Histoire et d’Epistémologie des Sciences du Langage intitulé « Les structuralismes linguistiques : problèmes d’historiographie comparée », Ecole Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines, Lyon (conférence invitée).
 
23 mai 2003 : conférence invitée : « Le traitement formalisé des parties du discours », Fédération de Typologie, Université Paris III.
 
27-30 août 2002 : « Le lexicalisme radical et la place de la syntaxe dans les grammaires catégorielles », 9th International Conference on the History of the Language Sciences (ICHoLS IX), Université de Campinas et de Sao Paolo, Brésil.
 
31 mai 2002 : Conférence invitée : « Les grammaires catégorielles : aperçu historique, enjeux théoriques et évolution du modèle », Journée CONSCILA intitulée « Confrontations en syntaxe », organisée par Danielle Leeman, Université Paris III.
 
15-17 novembre 2001 : « Le concept de « structure » dans l’histoire des grammaires catégorielles », Congrès International L’histoire de la linguistique dans les textes et les concepts, Université de Potsdam, Allemagne.
 
3-5 septembre 2001 : « Le principe d’adjacence et la controverse des constituants discontinus dans les grammaires catégorielles », The Henry Sweet Society for the History of Linguistic Ideas, 2001 Annual Colloquium, Université de Munich, Allemagne.
 
28-31 août 2001 : « The Treatment of Semantics in Contemporary Categorial Grammars », Conference on « Language Study in Europe at the turn of the Millennium », Faculty of Leuven, Belgique.
 
31 juillet-4 août 2001 : « What Constitutes Evidence of the Accurateness of Structure Representation ? », Conference LACUS 2001 on « What Constitutes Evidence in Linguistics ? », organisée par The Linguistic Association of Canada and the United States, Montréal, Canada, Université du Québec à Montréal (UQAM).
 
4-8 avril 2001 : « La sémiotique logique dans l’Aufbau de R. Carnap », Congrès Sémio 2001 : « Des théories aux problématiques », organisé par l’Association Française de Sémiotique, Université de Limoges.
 
23-31 juillet 2000 : « On Ajdukiewicz’s Categorial Analysis of Quantifiers », en collaboration avec P. Joray, Logic Colloquium 2000, ASL European Summer Meeting, La Sorbonne, Paris.
 
5 avril 2000 : Conférence invitée « Réflexions liées à l’histoire de la linguistique », Université de Neuchâtel, Séminaire de logique et Centre de recherches sémiologiques, Suisse.
 
14-19 septembre 1999 : « La formalisation de la sémantique : approche historique de la grammaire universelle de R. Montague », VIIIth International Conference on the History of Language Sciences (ICHoLS VIII), Ecole Normale Supérieure de Fontenay/Saint-Cloud, Paris.
 
7-10 septembre 1999 : « La description des faits linguistiques et leurs traductions logiques dans les grammaires de R. Montague et de P. T. Geach », 34th Colloquium of Linguistics on « Linguistics on the Way into the New Millennium », Johannes Gutenberg Universität, FASK Germersheim, Allemagne.
 
20-26 août 1999 : « Interchangeability, Categories and Meaning », The Eleventh International Congress of Logic, Methodology and Philosophy of Science, Université Jagiellonian, Cracovie, Pologne.
 
16-17 octobre 1998 : conférence invitée : « La notion de catégorie chez Richard Montague », Colloque « Rôle et enjeux de la notion de catégorie en logique », Université de Neuchâtel, Séminaire de logique et Centre de recherches sémiologiques, Suisse.
 
23-29 juillet 1998 : « If you come across any particular problem : pike a sentence in French ! », XXIIe Congrès International de Linguistique et Philologie Romanes, Bruxelles, Belgique.
 
2-4 juillet 1998 : « La place de la sémantique dans les premières grammaires catégorielles », XI. International Colloquium of the Studenskreis « Geschichte des Sprachwissenschaft, Université de Louvain, Belgique.
 
21 mars 1998 : conférence invitée : « La sémantique intuitive des premières grammaires catégorielles », Séminaire de l’UMR 7597, ENS Fontenay/Saint-Cloud.
 
3 décembre 1997 : conférence invitée « Parties du discours et catégories sémantiques », Université de Neuchâtel, Séminaire de logique et Centre de recherches sémiologiques, Suisse.
 
26-27 septembre 1997 : conférence invitée « La notion booléenne de fonction polynomiale », colloque « Les 150 ans de l’analyse mathématique de la logique », Société suisse de logique et de philosophie des sciences, Lausanne, Suisse.
 
10-13 septembre 1997 : « History of an omission : the treatment of the quantification from Ajdukiewicz to Montague », The Henry Sweet Society for the History of Linguistic Ideas, 1997 Annual Colloquium, Universzity of Luton, U.K.
 
20-25 juillet 1997 : « Histoire de la prise en compte de l’ordre des mots : le cas des premières grammaires catégorielles (1935-1961) », 16ème Congrès International des Linguistes, Palais des Congrès, Paris.
 
18-21 février 1997 : conférence invitée : « Histoire de la notion de catégorie dans les premières grammaires catégorielles », The First International Conference of the Spanish Society for Linguistic Historiography, Université de la Corogne, Espagne.
 
1er février 1997 : conférence invitée : « Penser le principe de compositionnalité : éléments de réflexion historique et épistémologique », Journée de l’ATALA intitulée « Le principe de compositionnalité sémantique », Université Paris VII.
 
3-4 octobre 1996 : « Comment ça réfère ? », Rencontre RSP : L’articulation entre sémantique et pragmatique dans le travail de description des langues, Panel « Déterminants et pronoms », Université de Paris VIII.
 
12-17 septembre 1996 : conférence invitée : « Mais que fait Bar-Hillel quand « le soleil siffle » ? », Seventh International Conference of the History of Linguistic (ICHoLS VII), conférence plénière, Oxford, U.K.
 
23 mai et 13 juin 1996 : conférence invitée : « Histoire du principe de substitution dans la première moitié du XXème siècle », Séminaire de recherches d’Histoire de la logique et linguistique organisé par B. Jaulin, Ecole des Hautes Etudes, Paris.
 
28 Mars 1995 : conférence invitée : « Un exemple de calculus ratiocinator : l’algèbre logique de Boole », séminaire d’Histoire de la logique organisé par F. Nef, Université de Rennes I.
 
14 février et 7 mars 1995 : « De Frege à Carnap : la naissance de la notion de système formel chez les logiciens », séminaire de DEA sur « la formalisation en linguistique » organisé par S. Auroux, Université de Paris VII.
 
11 juin 1994 : conférence invitée : « Un lourd héritage : la notion de calcul en linguistique », CNRS URA 381, Ecole Normale Supérieure Ulm, Paris.
 
07-09 avril 1994 : conférence invitée au colloque international : “Les années 1930, Réaffirmation du formalisme”, Saint-Malo.
 
21 janvier 1994 : conférence invitée : « Les unités élémentaires dans les premiers formalismes (à propos des grammaires d’Ajdukiewicz et de Carnap », Colloque « Mots et Grammaire(s) » organisé par le CELEX, Ecole Normale Supérieure de Fontenay, Paris.
 
24-26 Mars 1992 : « Quels sont les défauts de la logique des défauts ? », Cinquième Colloque de l’ARC, Université de Nancy.
 
6 octobre 1990 : Conférence invitée à la Journée scientifique sur “Le naturel et l'artificiel dans les processus de compréhension”, organisée par l'ISCC, Université d'Orsay.
 
2-3 Mai 1990 : participation à la table ronde “Les typologies de procès : représentations linguistiques, pertinence cognitives, applications en traitement automatique du langage”, organisée par C. Fuchs, CNRS, UA 1234, Université de Caen. (invitée).
 
9 septembre 1989 : conférence « Comparaison de deux approches dynamiques de résolution des paradoxes logiques et linguistiques », colloque « Sciences cognitives » organisé par J.-P. Desclès, Université Paris IV.
 
15 juin 1988 : conférence invitée : « Une résolution dynamique du paradoxe du menteur », Séminaire « Logique » organisé par Ph. De Rouilhan, Université de Paris I.
 
7 novembre 1987 : conférence invitée « Elaboration d'une théorie de la vérité en fonction d'énoncés instables », Groupe d'études sur les Logiques non-classiques en Intellignece Artificielle et Langages Naturels, Université Paris IV.
 
12 avril 1987 : conférence invitée « Proposition d'une nouvelle approche de résolution des paradoxes sui-falsificateurs », Séminaire de F. Nef, Collège International de Philosophie, Paris.
 
13 février 1987 : conférence « Le paradoxe sui-falsificateur: le paradoxe sémantique le plus complexe », Séminaire de R. Martin, Université Paris IV.
 
26 mai 1986 : « Les paradoxes sui-falsificateurs : quatrième classe d'exceptions à la loi de Leibniz », Séminaire de G. Fauconnier, EHESS, Paris.
 
10 mars 1986 : « La résolution du paradoxe du Menteur dans la perspective de J. Cargile“, Séminaire de R. Martin, Université Paris IV. »

 

Publications (suite)

9. La série "Les concepts fondateurs de la philosophie du langage" (ISTE editions)

dirigée par Béatrice Godart-Wendling
ISTE éditions

Présentation

Cette série a pour double objectif :

  • de retracer l’émergence et la constitution progressive des concepts de la philosophie analytique, de la pragmatique et de la philosophie du langage ordinaire qui se sont imposés en linguistique depuis un demi-siècle.
  • de tester l’universalité de ces concepts en les confrontant à des langues autres que l’anglais.

Les titres en français sont tous proposés en version numérique et en version papier (www.iste-editions.fr) 
et les ouvrages sont également publiés en anglais en co-édition avec WILEY ou ELSEVIER qui en assurent la diffusion mondiale ( www.iste.co.uk).

Ouvrages parus

Volume 1 : A la recherche de la présupposition

dirigé par Béatrice Godart-Wendling (HTL, UMR 7597, CNRS / Université Paris Diderot) et Layla Raïd (Université de Picardie Jules Verne, CURAPP-ESS, UMR 7319)

Résumé :
L’énoncé « Où avez-vous mis le corps ? » présuppose qu’il y a un cadavre et que vous l’avez caché. La plupart de nos échanges langagiers sont ainsi porteurs de présuppositions qui contraignent sémantiquement et pragmatiquement nos prises de parole. La conceptualisation de ce phénomène est complexe et nécessite de mettre en œuvre une théorie du contenu qui distingue l’objet déclaré de l’énonciation de ce qui est exprimé tacitement. Des mondes antiques aux sciences du langage contemporaines, A la recherche de la présupposition sonde l’histoire des systèmes linguistiques, philosophiques et logiques, afin de dégager les différentes théorisations de ce concept devenu central au XXe siècle dans la philosophie du langage. La première partie explore la présupposition dans l’analyse linguistique antique, médiévale et classique. La seconde partie examine, aux XIXe et XXe siècles, les différentes approches pragmatiques, cognitives ou formelles, et présente les apories et questionnements actuels soulevés par la présupposition.

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Volume 2 : De l'action du discours : le concept de speech act au prisme de ses histoires.

dirigé par Bruno Ambroise (CURAPP-ESS, UMR 7319, CNRS/Université de Picardie)

Résumé :
« Je te promets de venir », lorsqu'il est dit sérieusement, engage plus le locuteur qu'il ne décrit quelque chose à son propos. De la même façon, lorsque le maire marie un couple, il opère au moyen du langage une modification dans le réel qui excède la simple description. C'est pour rendre compte de ces effets du langage dans et sur le réel qu'a été forgé, au cours du XXème siècle, le concept de « speech act ». Ce qu'on pense au moyen de ce concept opère une véritable révolution dans l'appréhension du langage, qui ne se réduit dès lors plus à un moyen discursif pour dire le monde, mais devient un véritable instrument pour le modifier. Bien sûr, cette capacité du langage n'avait pas été totalement ignorée auparavant : on la retrouve, non pas chez Aristote qui repéra simplement des effets rhétoriques du discours indexés sur l'argumentation, mais plus tard, chez les Médiévaux qui, tant en théologie qu'en droit, tant dans la tradition chrétienne qu'islamique, ont relevé les effets décisifs que le langage pouvait avoir dans ces domaines. L'ouvrage retrace ainsi la conceptualisation qui a pu être opérée de ces effets singuliers du langage, depuis la pensée médiévale jusqu'à leur dénomination comme « actes sociaux » chez Reinach, puis comme « speech acts » chez Austin et Searle, avant d'analyser les évolutions plus récentes de cette conceptualisation en philosophie contemporaine, en linguistique et en logique. Opérant une véritable analyse réflexive du concept de « speech act », en explorant ses histoires qui appartiennent à des domaines divers, allant de la philosophie du langage à la linguistique, de la pragmatique aux perspectives formelles, ce volume entend offrir pour la première fois un regard exhaustif sur ce que le concept permet de penser (et ne permet pas de penser) à propos du langage.

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Volume 3 : Deixis et Anaphore

dirigé par Louis de Saussure (Université de Neuchâtel, Suisse)

Résumé
La deixis ou indexicalité concerne le fait, pour une classe d’expressions (les déictiques ou indexicaux) de ne pouvoir référer qu’au travers d’un passage par la situation d’énonciation. Tels sont par exemple les pronoms personnels de première et deuxième personne : je et nous identifient le locuteur ou le groupe auquel il appartient et tu ou vous son destinataire. De même, ici ou là identifient un espace par rapport au lieu où se déroule la parole et maintenant, aujourd’hui, demain etc. un temps par rapport au moment de l’énonciation. Pour Benveniste, ils impliquent la mise en scène dans le discours d’un locuteur et d’un interlocuteur dans une situation conversationnelle.
L’anaphore désigne un processus parent de la deixis : il s’agit aussi d’identifier un référent par le truchement d’un élément extérieur à la phrase elle-même. Toutefois, il s’agit ici d’accéder à un référent qui a été préalablement désigné par un antécédent dans une autre partie du discours. Cette catégorie est moins homogène que celle des déictiques et comprend notamment aussi bien des expressions de type pronominal (lui /celle-ci / ce jour-là etc.) que nominal (Paris… la ville lumière). Les démonstratifs sont souvent considérés comme pouvant revêtir les deux fonctions déictique et anaphorique suivant les cas.
Ces deux notions sont connues des penseurs anciens, de l’antiquité jusqu’à l’époque classique, qui en ont traité avec beaucoup de précision. Une première partie de l’ouvrage est consacrée à l’exposition de cette histoire riche et foisonnante dont les traditions modernes et contemporaines sont les héritières directes. La deuxième partie de l’ouvrage entre dans les traditions et problématiques contemporaines de la deixis et de l’anaphore, en sémantique, syntaxe et pragmatique et jusqu’à l’analyse du discours.

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Volume 4 : Le partage du sens. Approches linguistiques du sens commun

dirigé par Georgeta Cislaru (Université Sorbonne Nouvelle) et Vincent Nyckees (Université Paris Diderot)

Résumé
Parler, écrire, échanger, c'est faire l'expérience d'un partage du sens plus ou moins réussi, mais toujours attendu, sur le fond d'un monde de représentations et de perceptions présumées communes.
Fondées sur des faits linguistiques empiriques circonscrits et des problématiques clairement définies, les études ici rassemblées analysent les mécanismes, régularités, stratégies qui sous-tendent ou affectent une telle expérience. En examinant des données issues de champs divers (interaction, discours, variation, etc.) dans leur relation avec la notion complexe de sens commun, l'ouvrage montre combien la question du partage du sens renouvelle le regard porté sur l'intercompréhension linguistique. Celle-ci n'est plus considérée dans cette perspective comme un postulat soustrait à tout questionnement, mais comme le produit d'une dynamique entre interlocuteurs mobilisant un commun plus ou moins stabilisé, voire parfois problématique. Le partage du sens apporte ainsi sa contribution à une modélisation opératoire de l'intercompréhension dans les langues.

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Volume 5 : Figures de la vérité

dirigé par François Rivenc (Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne)

Résumé

Ponce Pilate a demandé : "Qu'est-ce que la vérité ?". Plus sobrement, cet ouvrage se propose d'explorer ce que signifie le mot "vrai", ou la propriété d'être vrai.

Figures de la vérité effectue d'abord un tour d'horizon des réponses que l'histoire de la philosophie a apportées à cette question, à travers l'étude des textes d'Aristote, un aperçu de la philosophie médiévale et de la tradition arabe, ainsi qu'un commentaire des oeuvres de Bolzano et de Twardowski. Il traite ensuite des diverses approches contemporaines du problème de la vérité: théorie des truth-makers, formes et portée de la conception déflationniste de la vérité, retour critique sur la conception sémantique du vrai, et en particulier sur la fameuse convention T de Tarski. Enfin, il s'interroge sur la valeur existentielle d'une vie dans la vérité, et, a contrario, sur la manipulation de la vérité par les régimes totalitaires.

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Volume 6 : Proposition, phrase, énoncé. Linguistique et Philosophie.

dirigé par Franck Neveu (Université de Paris IV)

Résumé

La triade "proposition, phrase, énoncé" peut être étudiée selon différentes perspectives disciplinaires : philosophie, histoire de la grammaire, linguistique ou encore philologie. Elle prend sa source dans le discours de la science depuis l'Antiquité, et s'est développée jusqu'à nos jours, faisant l'objet d'approches très variées.

Proposition, phrase, énoncé retrace l'émergence et l'évolution de ces concepts et en offre une vision d'ensemble. L'ouvrage présente les problématiques et les difficultés méthodologiques de ces notions, sans chercher à dissimuler les disparités, les oppositions, voire les contradictions de leurs analyses.

C'est finalement de temps long dont il est question dans cet ouvrage, de permanence et de rémanence, en dépit des évolutions et des variations de ces concepts au cours de l'histoire, ce qui témoigne de leur importance et de leur nécessité.

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Volume 7 : Cohérence, Cohésion et Pertinence. L'ajustement de la signification en contexte.

dirigé par Chrsitophe Al-Saleh (CURAPP-ESS/Université de Picardie Jules Verne) et Michel Charolles (LATTICE/Université Paris 3)

Résumé

Parler une langue suppose d’être capable d’adapter très précisément ce que l’on dit à ce qui vient d’être dit. Participer à une conversation demande à la fois d’ajuster la pertinence de sa propre contribution à l’échange en cours et de comprendre comment ce que disent les autres prolonge ce qui a été dit jusque-là.

Les questions sur la pertinence sont en lien étroit avec la question de savoir ce qui permet d’établir la cohérence et la cohésion des discours. De nombreuses disciplines se sont emparées de ces notions, que ce soit en (psycho)linguistique, en philosophie du langage, en logique, et plus généralement en sciences cognitives. Ce foisonnement scientifique et l’extension de ces notions rendent nécessaire une clarification de leur champ d’application.

Cohérence, cohésion et pertinence vise à cartographier ces notions dans les travaux contemporains de philosophie du langage, de logique, de linguistique et de psycholinguistique.

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Volume 8 : Les implicatures. Au delà du sens littéral.

dirigé par Claire Beyssade

Résumé

Un énoncé ne se réduit jamais à son sens littéral. Sa signification dépasse toujours celle des mots utilisés. Elle inclut ce que le locuteur laisse entendre et toutes les inférences que l’interlocuteur fait en comparant ce qui a été dit à ce qui aurait pu être dit. Ce sont ces éléments de signification qui viennent enrichir le sens littéral qu’on appelle les implicatures. Elles conduisent par exemple à interpréter « fromage ou dessert » dans un menu comme signifiant « l’un ou l’autre mais pas les deux ».

Cet ouvrage retrace l’histoire de la notion d’implicature, en présente une typologie et met l’accent sur le renouveau des études actuelles : études expérimentales sur le calcul des implicatures conversationnelles, mise en évidence de la dimension expressive des implicatures conventionnelles, et réflexions sur les implicatures sociales conduisant à préciser l’identité et le positionnement idéologique d’un locuteur.

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Volume 9 : Les usages de l'usage.

Dirigé par Béatrice Godart-Wendling (CNRS, UMR 7114) et Sandra Laugier (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)

Résumé

L’usage, longtemps déprécié, constitue actuellement le socle des approches linguistiques les plus contemporaines. Le parler ordinaire, c’est-à-dire ce que nous dirions dans telle ou telle circonstance, a traditionnellement été peu considéré par de nombreux théoriciens des langues. Les usages de l’usage questionne ce paradoxe en soulignant l’incidence de la philosophie du langage dans la réhabilitation récente de l’usage au sein des théories linguistiques.

Appréhendant en diachronie cette problématique d’un point de vue linguistique et philosophique, l’ouvrage analyse l’évolution de la conception de l’usage, de l’Antiquité grecque jusqu’à nos jours, tant au niveau de sa définition que des fonctions qui lui ont été attribuées. Il traite également des théories contemporaines qui posent l’usage au centre de leur dispositif et analyse les bouleversements théoriques qui en résultent.

En retraçant ainsi la transformation d’une notion sous-évaluée, cet ouvrage montre comment elle s’est révélée être, à l’époque contemporaine, un concept donnant lieu à l’apparition de nouveaux paradigmes scientifiques.

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